Contexte :
Les textes officiels en France ne définissent ni le contenu, ni la finalité de la coopération décentralisée. L’absence de cadre politique précis laisse donc de larges marges de manœuvre aux acteurs français pour définir l’objet de leur relation.
Programme :
1. L’état des lieux des politiques de coopération internationale
– La place des régions parmi les différents acteurs (Etat, départements, communes , associations ..)
– La géographie de la coopération décentralisée
2. Quels sont les objectifs recherchés ?
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la coopération décentralisée est-elle un moyen de « rapprochement entre les hommes », une « école de solidarité », « un espace de rencontre interculturelle » ?
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la coopération décentralisée est-elle avant tout une coopération au développement, c’est-à-dire une coopération de proximité, qui réalise des actions concrètes qui répondent aux besoins des populations ?
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La coopération décentralisée est-elle aussi est un moyen de soutenir la dynamique de démocratisation ?
3. Comment évaluer ces politiques ?
– Les difficultés de l’évaluation
– Quels critères ?
4. L’exemple d’une coopération décentralisée sectorielle : les transports
– La politique de coopération décentralisée du STIF
– l’exemple de la coopération avec Sao Paulo (Brésil)
Intervenants :
Docteur en sciences politiques, maitre de conférences, directeur d’un Master 2 Professionnel «Coopération internationale, action humanitaire et politique de développement ».
Directeur des relations extérieures et internationales d’un grand organisme institutionnel.
Tarifs* :
Journée : 500 euros par personne
Demi-journée ou soirée: 300 euros par personne
* Incluant le repas et la remise d’un dossier pédagogique / les formations comprennent entre 3 et 10 personnes par session.